les ingrédients

Le flan aux oeufs

Qui n'a jamais hait sa grand mère, qui au moment ou vous lui demandiez la recette et les trucs de la réussite du flan aux oeufs restait évasive, voir carrément muette...!!

Pour toutes ces personnes désespérées de voir un jour ce flan arriver chez vous par vos propre moyen je vous donne LA recette du flan aux oeufs traditionnel...!!

Vous me remercierez après, pour le moment suivez donc les instructions d'une simplicité enfantine.

 

 

Pour un gros flan d'1 litre il vous faudra donc :

• 1 litre de lait frais

• 100 gr de sucre semoule (voir 75 gr si ça vous semble trop)

• 8 oeufs frais

• deux sachet de sucre vanillé type Bourbon

• un caramel à préparer soi même

• de l'huile de coude

 

Portez à ébullition le litre de lait entier avec les deux sachets de sucre vanillé.

Pendant que le lait boue réduisez à l'état d'omelette les 8 oeufs frais. Une fois que l'omelette géante est achevée rajoutez le sucre semoule d'un seul coup et mélangez de toutes vos forces jusqu'à que le mélange blanchisse un peu et produise une mousse sur le dessus.

Si le lait n'a pas encore débordé, versez le chaud dans le saladier ou se trouve le mélange sucre/oeufs.

Mélangez et réservez .

Préparez un caramel avec quelques morceaux de sucre et de l'eau. Une fois celui ci bien roussi, versez le dans un plat à flan (il faut que la hauteur soit plus grande que la largeur ou identique) et plongez le cul du plat dans de l'eau très fraiche afin de figer le caramel au fond. Cette opération est essentielle sinon le caramel mou va se mélanger à la préparation et le flan sera raté.

Une fois le caramel figé versez le mélange lait sucre oeufs dedans et faire cuire au bain marie pendant une bonne heure à four très chaud.

Bain marie = le plat de flan doit flotter dans un plat plus grand rempli d'eau et l'ensemble passe au four pendant une heure.

Ce flan est vraiment délicieux, il est même possible d'en faire de plus petits ou en portions individuelles dans des ramequins.

Vous ne serez plus obligés de squatter tout l' aprem chez mémé afin de voir arrivez à l'heure du gouter ce délicieux flan, vive l'indépendance !!!!!!!!!!!!

Et bon appétit  !!

 

Après les exploits du Nico lors du permis A (motocyclette), il revient pour le permis C (poid lourd sans remorque) et dans quelques semaines pour le permis EC (poid lourd avec remorque ou semi)

Houlalalallala qu'elle histoire pour avoir ces fameux coups de tampon sur mon tout joli permis de conduire rose...

Pour ceux qui ne connaitraient pas la région les permis lourds se passent souvent dans un "grande auto école"  apellées des centres d'apprentissage de la conduite (ECF de Saint Egreve, ou AFT-IFTIM à Fontaine).Les moniteurs et autres personnes du metier apellent cela des "usines à permis".

Petites expliquations sur les moyens de parvenir jusque là...

Si certains ou certaines d'entre vous sont  interessés par l'un des deux permis ou les deux il faut savoir une chose : le coût est réellement un frein!!!
Il faut compter 1600 euros environ pour chaque permis plus la F.I.M.O (formation initiale minimale obligatoire) qui est indispensable pour tout les transports de marchandises ou de personnes.

Il est possible de se faire financer par plusieur sources telles que l'ANPE et ASSEDIC, qui prendront en charge votre dossier si vous êtes chomeur ou Rmistes.
Si vous êtes salariés vous avez droit au Fongecif qui finance plus ou moins selon le profil de votre cv et de la faisabilité du projet. (Le Fongecif est en droit de refuser votre dossier si votre travail actuel n'a pas de liens avec le projet de formation demandé)....

A savoir aussi que pour un financement Anpe ou Assedic il vous sera demandé de faire dans l'ordre :

Une réunion d'information sur les metiers de la route faite par un intervenant AFT-IFTIM

Un stage d'une durée minimale de 7 jours ou maxi de 15 jours dans une société de tansport     (naturelement c'est à vous de trouver l'entreprise )

Des tests d'aptitude à la conduite d'un poid lourd et des tests psychologiques et psychomoteurs

Obtenir une promesse d'embauche en CDI ou en CDD supérieur à 6 mois de la part d'un transporteur.

C'est seulement après avoir fait toutes ces démarches qui vous obtiendrez, si tout va bien, le financement d'au moins un permis et de sa fimo. En forcant un peu vous pouvez demander le financement des deux permis C et EC (ce que recherche bcp de sociétés ).

Ca vaut le coup car pour ma part la facture des deux permis plus la Fimo avoisinnait les 4 800 euros!!! Somme qui reste bien rondelette vous en conviendrez...!!!

Et ensuite c'est partiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!

La première fois que l'on monte dans un camion c'est chaud, voir tres chaud...Pour ma part le stage fait chez ZANON transport à Sassenage m'a bien aidé car j'ai pu déjà me familiariser avec la hauteur de la cabine des poids lourds qui s'élève à 1mêtre 90 ...(tout de même), le gabarit, le chargement, le haillon et le reste...

Déroulement du stage :

Cours de code pendant trois jours de manière intensive!!

Miam, pour ceux qui n'aimait pas les longues et interminables leçons de code à mettre des petites croix dans les cases vont être servis... vous devrez ingurgiter jusqu'à 8heures par jour !!

Ceci est valable même pour ceux dont le code est encore valable (code qui a été passé il y a moins de 5 ans)...

Le permis poid lourd C s'articule autour de 2 épreuves.

Une épreuve théorique et hors circulation qui regroupe :

290 questions écrites à connaître par coeur sous forme de 29 fiches de 10 questions (photo "question")

Une revue de camion à faire en 15 minutes (photo "revue pl")

Un oral avec l'inspecteur sur une fiche théorique tirée au sort parmis 20 fiches (photo "exemple d'une fiche")

Une manoeuvre, tirée au sort parmis 6 parcours, à faire sur plateau.(photo "plateau")

Une fois ces épreuves achevées, vous obtenez un total de points effectif pour toutes les fautes commises.

Le barême est le suivant :

De 0 à 15 points de pénalités vous aurez droit à 3 passages en circulation

De 16 points à 17 points vous n'aurez qu'une seule circulation

Au dela de 17 points vous repassez le plateau.

L'épreuve plateau est bien entendu la plus stressante donc celle qu'il faut absolument préparer à fond. L'inspecteur en général ne fait pas de cadeaux. La plupart ne sont pas des enmerdeurs mais demandent à ce que le travail soit fait par les futurs conducteurs.

C'est pour cela qu'il est essentiel de bien bosser les parties théoriques dès le départ...le travail fait régulièrement évite les coup de panique quelques jours avant l'examen et permet d'être plus calme et plus sure de soi.

La circulation est aussi stressante mais ne fait pas appel à la mémoire. Avec un peu de chance vous aurez ½ heure de conduite, moi j'ai eu droit à 50 minutes, temps normalement réglementaire.

Cela fonctionne à la tête du client!! Les parocurs sont variés mais très peu en ville. Le poid du camion nous empechant d'évoluer de partout ca reste assez accessible.

Voilou .........Bon si vous êtes toujours là à lire ces quelques phrases c'est que c'est bon signe...

Soyez toujours sure que le travail paie !!

Bon futurs Dédé le routier je vous salue bien haaaaaaaauuuuuuuutttttt...

A ++++++

ps : si des trucs ne sont pas clairs n'hesitez pas à me demander ...

Bon décidément je vous gâte mes ptis poulets en ce retour de vacances !!!

Aujourd'hui je rajoute aux petites lectures reposantes une p'tite tarte aux fraises qui ne se fera certainement pas prier pour se faire dévorer de tout les cotés ...!!       

La recette est simple et ne demande que très peu de temps de conception et quel bonheur pour fêter le printemps qui frappe à nos fenêtres !!

La pâte :
220 gr de farine fluide
75 gr de beurre mou
1 œuf battu avec un peu d'eau
un demi sachet de levure chimique

Je mixe d'abord au robot la farine et le beurre jusqu'à obtenir un appareil assez friable. Je rajoute ensuite, robot à l'arrêt l'œuf battu avec l'eau et la levure chimique en dernier.
Le monde ne s'écroulera pas si vous optez pour le robot car certains puristes vous dirons qu'il ne faut pas... J'ai essayer des deux méthodes et je peux vous dire que le résultat est identique, gain de temps!!

Une fois l' obtention d'une jolie boule de pâte vous farinez et l'étalez assez épaisse.
Une fois votre moule chemisé, garnir de la pâte et disposer dessus un moule qi va faire pression sur la pâte afin qu'elle ne gonfle pas trop lors de la cuisson.
20 minutes de cuisson sont normalement nécessaire peut être un peu plus selon le four.

Pendant ce temps, organisé comme vous l'êtes, vous avez préparé votre :

Crème pâtissière:

Deux œufs battu avec 75 gr de sucre semoule et un pti 40 gr de farine environ tamisée.
Un pti demi litre de lait au feu et une fois ce dernier chaud verser l'ensemble dans la jatte des œufs et mélanger au fouet une minute.
Remettre au feu doux tout en mélangeant sans interruption jusqu'à obtention d'une crème des plus épaisse.

Rincez vos fraises avec les queues !!!!!!sinon elles vont se gorger de flotte et c'est pas bon.
Découper les dans le sens de la longueur une fois équeutées. Réservez. (pas le billet de train )

Important lorsque la pâte est cuite verser la crème pâtissière dessus et surtout attendez que l'ensemble refroidisse bien sinon cela va cuire les fraises et vous aurez une bouillie rouge à la place d'une délicieuses présentation.  

Une fois le délicat étalement des fraises sur la pâte et la crème froide préparez un coulis de fraise à l'aide de deux cuillères à soupe de confiture de fraise, une demi feuille de gélatine ramollie dans un bol d'eau tiède et un demi verre d'eau.
Mettre au feu quelques secondes et laisser aussi tiédir.
Attention à ne pas trop laisser refroidir sinon le coulis va prendre et vous serez bon pour en préparer un autre.!!

Reservez au frais ou à l'ombre c'est encore mieux et servez avec le sourire !!!

Gros bisous les poulettes et poulets !!!!!!!!!!!!!!!!!

Des liiiiiiiiiiiiivres .......

Qu'ils soient anciens, neufs, revêtu de cuir ou de poches lol ils sont la trace de notre histoire, de notre passé florissant et le témoignage d'une société en sans cesse évolution.

Ne vous inquiétez pas je vais pas vous enterrez dans des phrases infinies faites de zèle et de manières littéraire. Je n'en serais pas capable d'une part et d'autre part ce n'est pas dans mon genre...Koi ke lol

Donc je viens aujourd'hui, submergé par une profusion d'inspiration soudaine vous montrer quelques livres que j'ai choisi de lire et que je ne regrette pas.

Dans ces ouvrages point de sciences fictions ou très peu. Ce ne sont pas des styles à la Mary Higgin's Clark, Stephen King ces grands Maîtres du mystère et du suspense.
Ce sont des romans accessibles, de la vie de tout les jours, dans lequel je m'identifie facilement.

Des livres de poche sans prétentions, dont les auteurs ne sont pas, pour la plupart à leur premier jet d'encre.

Il n'y a pas de point en commun entre les livres, du mois pas du premier abord, mais je les aime pour les avoir apprécié dans leur style simple, pour les uns, et poétique, doucement rêveur pour les autres.

l' Évangile de Jimmy de Didier Van Cauwelaert./ éditions le livre de poche N°30639

« Je m'appelle Jimmy, j'ai 32 ans, et je répare les piscine dans le Connecticut. Trois envoyés de la Maison Blanche viennent de m'annoncer que je suis le clone du Christ »

Un ouvrage bien sympa, proche, d'un style vraiment agréable. Une histoire bien ficelée qui n'a de science fiction que le clonage humain. Le reste est une recherche approfondie sur la religion, ses dogmes, ses attentes et ses tabous, sur l'espérance humaine et ces mystères...

Un savant mélange d' intrigue « politiquo-religieux » sous fond de dérive humaine sauce burger.!!

l' Agneau Chaste de Franck Varjac / éditions Minos la difference

Un tout petit livre charmant mais explosif par son contenu.

Cela parle de la difficile réalité des choses, de l'amour d'un adulte pour un adolescent à peine pubère.

D'un amour impossible, étrange et étroit par son silence. Un amour à taire tellement il est difficile à vivre pour les deux intéressés. Un roman, un essai qui laisse une question en suspend sur la tolérance et limites de chacun dans sa compréhension.

Et pour finir par une touche joyeuse, légère, d'un souffle, un livre d'un auteur que j'aime bieeeeeennnnnnnn...

Le bonheur de Philippe Delerm / éditions folio N°4473

l'écrivain pas le chanteur!!

Petit roman délicieux et onctueux, fidèle à son auteur, qui nous emmène dans sa description du bonheur, de ses moments de plaisir.

Des plaisirs simples, parfois familiaux, parfois égoïstes, des tableaux de phrases tout en finesse et amour. Quelques parenthèses à mettre entre guillemets (...) qui nous parle de son fiston Vincent Delerm le chanteur et arrangeur sonore

A liiiiiire absolument tellement c'est beau................

Coucou les cop's et autres perdus du net sur le blog du Nico...

Aujourd'hui c'est choux fleur, marée basse et coquillages...!!!

Je m'explique :

Je reviens d'une superbe et trop courte semaine en Bretagne, dans la petite ville côtière de Roscoff au nord du Finistère.

Comme d'habitude je m'étais fait mes petits paquets de préjugés sur cette région du genre «  il fait froid, ils pleut tout le temps, c'est moche, c'est plat » etc etc

Mais finalement la région m'aura convaincu de ses charmes et m'aura aussi prouvé une fois de plus que les préjugés sont aussi inutiles que de vieux sacs de ciment durcis que l'ont trimballerait les jours de promenade dominicale.

Mais trêves de plaisanteries.

Par les quelques lignes qui vont suivre je vais essayer de rendre hommage à cette région dont je n'ai découvert qu'une courte parcelle mais qui par bien des aspects à déjà ravi mon pti cœur d'artichaut !! (lol)

Note pour le lecteur assidu :

Les lignes qui vont suivre sont à « tendances » poétiques, le premier qui me fait un commentaire singouin sur mes proses aura à faire à moi !!! (les intéressés se reconnaîtront )

Hommage à Roscoff et son écrin...

La Bretagne est une région singulière.

De grandes prairies verdoyantes entourent des plages de sable crème qui ont pour trait d'union avec la mer d'immenses étendues de rochers sombres posés la comme des billes au fond d' une cour d'école.

Les contrastes de couleurs sont saisissants.

À l'horizon, rien n'obstrue la vue sur l'infini de l'eau.

Le ciel est un spectacle à lui tout seul.Tantôt lourd, chargé d'un gris profond et tenace, annonciateur de pluie ; tantôt léger comme une plume offrant des éclaircies créant dans les eaux d'immenses zones bleues lagon.

Les mouettes, goélands et autre oies bernaches en voyage s'amusent de ses tumultes nuageux en virevoltant dans les courants d'air frais venant de l'infini marin.

Roscoff est une ville côtière, des bateaux de pêche s'y baignent, des voiles s'y secouent sous le vent, les coques des embarcations ont des couleurs délavées. L'air y est bon ; rempli de senteurs marines, de l'air du matelot, fière de sa journée de labeur, remontant ses filets garni, suivi de près des oiseaux de la mer.

Ses rues sont aérées ; à sens unique pour la plupart, bordées d'hôtels discrets, de maisons bourgeoises et cossues, fenêtres saillantes sur la mer et poutres de bois clair.

La plupart de ces bâtisses sont vêtues de blanc et coiffées d'ardoise. Rares sont celle qui n'offrent pas leurs petits jardinets à la vue des passants ; jardinets brodés de jonquilles, d'hortensias mauves, couvert d'un gazon bien vert et de quelques fontaines jaillissantes.

De vieux corps de fermes, damés de grises pierres anciennes, d'ardoises et rehaussées de volets blancs longent les rues discrètes de la ville mélangeant avec harmonie le charme de l'ancien et le souffle du contemporain.

Les restes de bâtisses religieuses assidûment entretenues témoignent du passé Chrétien de la ville, des ruelles donnent sur des vues du port, de la mer, des amas de rochers sortis du sable.

Dans les veinures du bourg pavées résonnent les pas de passants et autres touristes, engloutis dans les senteurs des restaurants et le cris des mouettes.

De délicieux parfums de marées s'échappent des cantines aux noms évocateurs tels que l'Espadon, le Surcouf, la Moule au Pot, invitant les nez raffinés à s'attabler aux fastes d'un plateau de fruits de mer, soupes de pécheurs et autres délectations salées venue du fond des profondeurs de la Manche.

A mi chemin entre la côte et le bourg on se reposent dans de petits jardins publics en hauteurs, surplombant la mer, agrémentés de quelques bancs de pierre et de plantes exotiques ou arbustes.

Une petite chapelle domine la vue de Roscoff du haut de son rocher offrant au visiteur une vue sur un profil du port, de la rive, et de quelques hôtels accueillants.

Hôtels dont les terrasses sont occupées par des curistes en peignoirs blancs venus chercher les bienfaits de la thalasso sous forme de bains d'eau de mer, profitant ainsi de l'air frais du matin allongés sur une ou deux chaises longues, attendant les premiers soins.

C'est un bourg ou il fait bon vivre, bon de prendre son temps, de se laisser emporter par les rythmes des marées et se bercer par le vent.

Les touristes, sourires figés aux lèvres lors du retour de la navette de l'île de Batz le savent bien. Ils reviennent d'un endroit nulle part découvert, d'un ailleurs aux contours rocheux, à la mer cajoleuse et de dunes de gazon verdoyant.

Des ruines d'église datant de presque dix siècles conservées comme des trésors au milieu de prairies se dévoilent à ciel ouvert, laissant une porte ouverte vers le passé pour qui voudrait remonter le temps et apprendre de nos ancêtres.

L'ensemble est à quelques brasses de Roscoff, à découvrir à pied ou en vélo.

De petits chemins sablonneux au milieu de la verdure zigzaguent entre les maisons des îlotiers, le phare qui domine l'île et les champs d' échalotes et de choux fleurs.

Plus loin dans la mer, quelques îles miniatures, fait de rochers sombres et escarpés nichent en leur creux des colonies de goélands et autres oiseaux marins lors des nichées du printemps.

Le soleil doucement va rejoindre la mer laissant à nos yeux un dégradé d'orangés et déjà je me dis que je ne veux pas repartir de ces contrées aux allures d'autre temps.

Je ne garde rien en souvenir car ce serait ne pas vouloir y revenir.

L'occasion reviendra bientôt, je me languis d'être de retour à Rosko* !

*Rosko =Roscoff en breton.